samedi 7 avril 2012

Quand les deux petits cochons font grève de la sieste, grève du coucher tôt, fête aux levers multiples, aux demandes de biberons, aux excuses toilettes, cauchemars, j'veux pas dormir, dormir dans ton lit, encore un bisou, je reste debout, non pas ça, ci, là, ma chaussette est sous la couette, le chat a pris mon oreiller, les voisins font du bruit, chante Petit Koala Maman, fait un câlin avec tes bras, te fâche pas, remets ma couette rose j'aime pas la blanche, Poupée Belissima n'est plus habillée, Barbapapa veut pas conduire les tractopelles, donne moi le livre de train, le catalogue vert pour commander des chaussures marron.... Maman cochon devient out. Out of Africa, out of ses gonds, claquée, lessivée, au bout du rouleau. Capuccino, Kinder bueno, bain chaud, mousse à la Mûre, dodo, tard. Très tard. + 3 kg, le chocolat c'est anti-stress. Tu me manques. De quand on était deux et qu'on pouvait se dire, entre autre, chacun son tour...

5 commentaires:

  1. C'est à toi que je pense quand j'ai trouvé la journée longue, que le coucher s'éternise et que je perds patience... Je prends une grande inspiration, je fais un câlin et je passe le relais. En savourant.

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  2. Que c'est épuisant, oui ! (alors en solo...)
    Et les Bueno tu peux y aller, tu as de la marge !!!
    ;-p

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  3. tu m'étonnes! de vrais aspirateurs à énergie ces trucs là! la seule solution: les papoteries entre copines pour déverser tout notre côté mère indigne qu'enpeutplusdavoirlesnerfsaboutdesesenfantsimimisichiants

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  4. Parfois quand les 3 cocottes minutes décident d'exploser en même temps je me dit : " mais comment j'etais moi..."

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