mardi 22 mai 2012
Comment parler des vieux... ?
Trop fastoche et vraiment très drôle avec Raides Morts, une petite mine d'or pour expliquer la vieillesse à nos bambins, la vie quoi.
Deux gamins un peu malicieux demandent à leurs grands-parents pourquoi ils sont vieux, chauves et tout ridés. Ces derniers qui ne se démontent pas remontent le temps et racontent leur vie, du berceau jusqu'à auourd'ui. Tout y passe, non sans drôleries, sous des airs very british sans happy end "Même si nos vies ont été exceptionnelles, un jour, comme tout le monde, nous tomberons raides morts". Encore que...
Raides Morts de Babette Cole, éditions Seuil Jeunesse, 1996, 12 euros
Post Cynophiltum : l'auteur dédie le livre à son chat raide mort qui est ainsi devenu ce qu'il a toujours voulu être : un Rottweiler !
dimanche 20 mai 2012
Flagada : adopté !

Flagada, Henri Dès et Izou, Editions des Braques, mars 2011, 18 euros.
samedi 19 mai 2012
" Toi...
... tu savais faire du vélo quand ton papa il est mort ?"
- oui..."
- il est où alors ton vélo ?".
- oui..."
- il est où alors ton vélo ?".
vendredi 18 mai 2012
Si la recette miracle pour être "parent au top" existait, ça s'saurait. N'empêche...

Les 50 règles d'or des relations parents-enfants de Christiane de Beaurepaire, éditions Larousse, avril 2012, 3,50 euros.
Libellés :
Larousse,
parentalité,
relations parents-enfants
jeudi 17 mai 2012
22h00 ou courir plusieurs lièvres à la fois...
22h00, c'est parfois juste l'heure à laquelle je me pose...
En cours de semaine, la journée commence à 6h15 à peu près et ensuite c'est marathon du matin, travail, et re-marathon du soir... ou la chronique d'une double journée, celle que connaissent tous les parents, forcément, direz-vous. Une journée qui prend encore plus d'ampleur en mode monoparent. Cependant. Un peu plus encore peut-être tant qu'ils sont petits, petits, ces Minis. Mais en un an et quelques poussières d'étoiles, qu'est-e qu'ils ont gagné en autonomie, ça roule, à peu près. Y a des couacs. Parfois forts. Parfois c'est très dur de remettre les pendules à l'heure. Sans jocker. Et puis il y a un peu de fatigue quand même. De temps en temps. Parce que faut de l'endurance, quand même... pour assurer de tous les côtés, enfin à peu près. Mais malgré elle, il y a ce besoin de garder du temps pour soi, pour rien ou pour tout autre chose. Pour scribouiller, pour lecturer, pour introspecter, pour y penser. C'est la plage 22h00-00h00. Quelle idée alors de se planter devant son ordi pour, tant bien que mal, cahin caha, plus ou moins régulièrement, de ci de là, glisser un billet sur le blog. Quelle idée, oui. Quelle idée ? J'en ai plusieurs qui me viennent comme ça. Mais la première, c'est juste que je ne peux pas ne pas écrire. Alors tant pis pour la fatigue, faut que je scribouille. Alors, si vous voyez ici qu'il y a deux ou trois trains de retard sur les pages de Maman Baobab, faut pas vous dire que je suis à sec. ça pourrait. Mais c'est surtout que je suis à sec de temps. Suffit d'un coup de fil, d'un coucher qui perdure, un de ceux qu'on dit ratés de chez ratés, suffit que la napolitaine ait besoin de soins, que le linge ceci, ou la machine cela, suffit que la serpillère soit en manque d'eau chaude et de produit, que l'aspi hurle j'veux du poil, des moutons, des pâtes de sous la table et de la poussière, que la centrale ne s'autosuffise plus de sa vapeur, qu'il ne pleuve pas dehors et qu'il faille imbiber les potées d'eau, ou qu'au pire je doive peindre des poteaux roses... pour que ces pages ne s'alimentent pas. Voilà, c'était ma fable de la tortue. Plutôt tortue oui, que plusieurs lièvres à la fois. A moins qu'on puisse courir plusieurs tortues à la fois ? Si c'est ça, je prends, je suis d'dans. Foi de HASE been.
En cours de semaine, la journée commence à 6h15 à peu près et ensuite c'est marathon du matin, travail, et re-marathon du soir... ou la chronique d'une double journée, celle que connaissent tous les parents, forcément, direz-vous. Une journée qui prend encore plus d'ampleur en mode monoparent. Cependant. Un peu plus encore peut-être tant qu'ils sont petits, petits, ces Minis. Mais en un an et quelques poussières d'étoiles, qu'est-e qu'ils ont gagné en autonomie, ça roule, à peu près. Y a des couacs. Parfois forts. Parfois c'est très dur de remettre les pendules à l'heure. Sans jocker. Et puis il y a un peu de fatigue quand même. De temps en temps. Parce que faut de l'endurance, quand même... pour assurer de tous les côtés, enfin à peu près. Mais malgré elle, il y a ce besoin de garder du temps pour soi, pour rien ou pour tout autre chose. Pour scribouiller, pour lecturer, pour introspecter, pour y penser. C'est la plage 22h00-00h00. Quelle idée alors de se planter devant son ordi pour, tant bien que mal, cahin caha, plus ou moins régulièrement, de ci de là, glisser un billet sur le blog. Quelle idée, oui. Quelle idée ? J'en ai plusieurs qui me viennent comme ça. Mais la première, c'est juste que je ne peux pas ne pas écrire. Alors tant pis pour la fatigue, faut que je scribouille. Alors, si vous voyez ici qu'il y a deux ou trois trains de retard sur les pages de Maman Baobab, faut pas vous dire que je suis à sec. ça pourrait. Mais c'est surtout que je suis à sec de temps. Suffit d'un coup de fil, d'un coucher qui perdure, un de ceux qu'on dit ratés de chez ratés, suffit que la napolitaine ait besoin de soins, que le linge ceci, ou la machine cela, suffit que la serpillère soit en manque d'eau chaude et de produit, que l'aspi hurle j'veux du poil, des moutons, des pâtes de sous la table et de la poussière, que la centrale ne s'autosuffise plus de sa vapeur, qu'il ne pleuve pas dehors et qu'il faille imbiber les potées d'eau, ou qu'au pire je doive peindre des poteaux roses... pour que ces pages ne s'alimentent pas. Voilà, c'était ma fable de la tortue. Plutôt tortue oui, que plusieurs lièvres à la fois. A moins qu'on puisse courir plusieurs tortues à la fois ? Si c'est ça, je prends, je suis d'dans. Foi de HASE been.
mardi 15 mai 2012
Le retour des insectes et autres bébêtes...
... ces petites bêtes qui vous feront perdre le calme à la maison. Non, pas chez vous ? Chez nous, si. Enfin pour 1/5e des habitants de la Maison Rouge. Armée jusqu'aux dents (de lait), une tapette à mouche dans les mains, la Grenouille est terrorisée par n'importe quelle bestouille volante ou rampante qui se promène dans la maison. Insectes ou pas d'ailleurs. Nous travaillons à les apprivoiser.
Les Insectes en bande dessinée, Scénario : Cazenove & Vodarzac - dessin : Cosby, édition Bamboo, mai 2012 - 10,60 euros.
Moi j'aime pas les mouches. Mais c'est tout. Et encore j'aime pas les grosses qui font du bruit et qu'on appelle poètiquement à merde. Voilà c'est dit. Sinon... côté squatteurs de maison, je dois bien vous avouer être du genre à regarder avec dégoût le chat manger des araignées et à prendre ces dernières par la peau du popotin pour les ranger dehors... sans les écrabouiller.
Et quand je les laisse où elles sont - soit partout ailleurs que dans la chambre de Grenouille - je cherche si on est matin, midi ou soir pour voir avec quoi ça rime (chagrin, espoir et compagnie). Des fois c'est avec "c'est l'heure de faire pipi" juste parce qu'elles sont au plafond, dans les toilettes. Etrange, chez les araignées, ce besoin de se coller aux WC.
Je sais c'est pas des insectes. Mais c'est de bébètes. Et puis elles font des trucs impressionnants, non ? Enfin à part les petites piqûres à multi boutons qui gratouillent gratouillent, de celles qu'on s'dit oh nannnn elle m'a pondu d'dans ! N'importe quoi...
Oui. Je suis aussi du genre à regarder les toiles d'araignée, à les photographier quand elles sont gratinées par la rosée et à chanter des chansons sur les coccinelles, demoiselles ... Alors du coup, savoir d'où vient la peur bleue de la Grenouille pour les bestouilles... je n'ai pas de sources. Alors, vous dis-je, on apprivoise, on brasse du vent à la tapette et on les observe dans le jardin en leur parlant, tant qu'à faire !
D'ailleurs, pour des bien plus grands, sur le sujet, vient de sortir chez Bamboo Editions, Les Insectes en bande dessinée de Caenove, Vodarzac & Cosby. Une idée lumineuse (autant que les lucioles) et qui fera forcément mouche auprès des jeunes lecteurs un peu curieux qui voudraient en savoir plus sur ces animaux à six pattes et 4 ailes (et non, pas d'araignées programmées!) en mode détente. Pour chaque insecte passé au crible, une fiche d'identité, une page ou une double en BD avec une mise en scène gagesque inspirée du réel. S'y ajoutent des thèmes transversaux: description, communication, stades de vie, etc. Lecture encyclodrôle, à partir de 9 ans pour un premier tome qui en verra d'autres, nécessairement.Et quand je les laisse où elles sont - soit partout ailleurs que dans la chambre de Grenouille - je cherche si on est matin, midi ou soir pour voir avec quoi ça rime (chagrin, espoir et compagnie). Des fois c'est avec "c'est l'heure de faire pipi" juste parce qu'elles sont au plafond, dans les toilettes. Etrange, chez les araignées, ce besoin de se coller aux WC.
Je sais c'est pas des insectes. Mais c'est de bébètes. Et puis elles font des trucs impressionnants, non ? Enfin à part les petites piqûres à multi boutons qui gratouillent gratouillent, de celles qu'on s'dit oh nannnn elle m'a pondu d'dans ! N'importe quoi...
Oui. Je suis aussi du genre à regarder les toiles d'araignée, à les photographier quand elles sont gratinées par la rosée et à chanter des chansons sur les coccinelles, demoiselles ... Alors du coup, savoir d'où vient la peur bleue de la Grenouille pour les bestouilles... je n'ai pas de sources. Alors, vous dis-je, on apprivoise, on brasse du vent à la tapette et on les observe dans le jardin en leur parlant, tant qu'à faire !
Les Insectes en bande dessinée, Scénario : Cazenove & Vodarzac - dessin : Cosby, édition Bamboo, mai 2012 - 10,60 euros.
Libellés :
A partir de 9 ans,
Bamboo Edition,
BD,
Bébètes,
Grenouille,
humour,
Insectes,
lecture pré-ados
lundi 14 mai 2012
Atchoum aux spams
Maman Baobab reçoit des spams en guise de commentaires. Par conséquent, pour les éviter, chers lecteurs, vous devrez vous enregistrer pour laisser un commentaire ou participer aux concours.
Merci pour votre compréhension et merci pour vos petites traces encourageantes, de ci et de là aussi !
Drawoua
Merci pour votre compréhension et merci pour vos petites traces encourageantes, de ci et de là aussi !
Drawoua
dimanche 13 mai 2012
Les raccommodeuses des coeurs déchirés
Il m'a fallu un petit temps, je dois bien admettre pour lire ce livre. Il m'a fallu un temps encore plus grand pour décider de le sortir de la pile pour vous le présenter. Je m'étais dit, vue la pile justement, mi-mai. Et voici, nous y sommes. En ouvrant les pages de Maman Baobab aux événements douloureux de la vie, en construisant les pages de ce blog sur la vie justement, avec ce qu'elle a de triste et de joyeux, de beau et de moins bon, en gardant le cap de la famille, naturellement, on tombe forcément sur des sujets compliqués et douloureux. Justement.
Dans ces sujets compliqués, il y a la perte d'un enfant. Sur ce thème, transposée au regard de ses frères et soeurs ou de ses petits compagnons de classe, de crèche ou d'école, et racontée à leur attention, il y a l'histoire de Catibou et Géraldine Harry :
"Les Raccommodeuses des coeurs déchirés" .
"Une larme perl[e] au coin de l'oeil de Poupée", le signe pour elle qu'une nouvelle mission commence, celle de raccommoder le coeur submergé de tristesse d'une maman, d'un papa, de frères, de soeurs, d'une famille... Un long travail qui demandera du temps, des larmes, et des bobines de fil... Un long travail, qui demandera des coutures, des surcoutures, des points tout petits, nombreux, serrés, qui lâcheront parfois, qu'il faudra reprendre aussi... pour avancer tout doucement. Ce long travail est celui du deuil délicatement imagé par Géraldine Harry qui adoucit un conte qui permettra d'aborder un sujet compliqué avec douceur et poésie pour les jeunes lecteurs, à partir de 4 ans.
"Les raccommodeuses des coeurs déchirés" de Catibou et de Géraldine Harry, Edition Les Petits Pas de Joanni, 2010 - 12 ,90 euros.
Dans ces sujets compliqués, il y a la perte d'un enfant. Sur ce thème, transposée au regard de ses frères et soeurs ou de ses petits compagnons de classe, de crèche ou d'école, et racontée à leur attention, il y a l'histoire de Catibou et Géraldine Harry :
"Les Raccommodeuses des coeurs déchirés" .
"Une larme perl[e] au coin de l'oeil de Poupée", le signe pour elle qu'une nouvelle mission commence, celle de raccommoder le coeur submergé de tristesse d'une maman, d'un papa, de frères, de soeurs, d'une famille... Un long travail qui demandera du temps, des larmes, et des bobines de fil... Un long travail, qui demandera des coutures, des surcoutures, des points tout petits, nombreux, serrés, qui lâcheront parfois, qu'il faudra reprendre aussi... pour avancer tout doucement. Ce long travail est celui du deuil délicatement imagé par Géraldine Harry qui adoucit un conte qui permettra d'aborder un sujet compliqué avec douceur et poésie pour les jeunes lecteurs, à partir de 4 ans.
"Les raccommodeuses des coeurs déchirés" de Catibou et de Géraldine Harry, Edition Les Petits Pas de Joanni, 2010 - 12 ,90 euros.
samedi 12 mai 2012
Moi j'étais plutôt chat-chat...
... Si on peut dire chat comme chat. Quand lui était très chien-chien. Un truc que j'ai découvert bien après que je lui trouve du chien. D'ailleurs avant ça, c'était comme ça qu'on s'entendait. Comme chat et chien. Et puis voilà. Il y a des trucs qui naissent et qu'on n'explique pas. Et puis voilà. Il y a des projets. C'est comme chat. Et puis on s'est dit que les chats faisaient pas des chiens. Alors chacun y a mis un peu du chien. Du coup. Un chat, un énorme chien - tant attendu - et un autre chat plus tard (fallait compenser mais ça ne faisait pas le poids ), nous voilà avec une portée de chats. Un membre est resté, les autres théâtralement placés. On était nombreux - à peu près - mais on avait une énorme envie d'autre chose. Forcément. Pourquoi pas des chiards ? Pas si facile. Et pourtant... En voici un à peine conçu que notre élévage canin phare attend des chiots. Irrésistible. 3 chats + 2 chiens (très gros, très beaux) + 1 chiard (tout petit rikiki) et à peine né, un autre était en route. Equilibre parfait. Pas happy end. Vous savez. La route continue. Une nana moins chat-chat devenue très chien-chien. - a t-elle du chien ? Peut-être. Mais pas à sa mémère - un chat chat zinzin, une napolitaine juste enormous, bavousse avec du type et de l'amplitude, et deux chiards plus tard - nos chiards, mes chiards - l'équilibre se refait. Et devinez ? La girly est très chat-chat, le B-boy very chien-chien - enfin du enormous et napolitain, pas du "à sa mémère". Clair. Les chats font pas des chiens.
Concours et Chiot !
Se retrouver avec bébé chiot ou bébé chat dans la maisonnée, gloups. Pas toujours facile. Et puis même si on a pesé (à peu près) le pour et le contre, il y a des questions auxquelles on n'a pas forcément pensées : ça mange quoi, ça marche comment, comment on lui apprend assis ou à faire pipi dehors, faut mettre des piles ?
Pour répondre à toutes vos questions sur le choix et l'arrivée du chiot de manière simple, précise et illustrée, vous dévorerez "Comment élever son chiot (au top!)" de Gwen Bailey aux Editions Larousse (avril 2012).
Au sommaire, les clés d'une éducation basée sur le renforcement positif et la bienveillance, mais aussi le choix du chiot, des conseils pour préparer son arrivée et des exercices ludiques auxquels peuvent se prêter les enfants de la maisonnée.
La bonne nouvelle qui couronne notre nouvelle rubrique "animaux de compagnie" ? Ce livre est à gagner !
Racontez nous les premiers pas de votre animal, quel qu'il soit, à vos côtés : anecdotes, premières nuits, découvertes, bêtises, surprises, ... à vous de nous faire rire, sourire, pleurer, envie et aimer votre compagnon...
Pour répondre à toutes vos questions sur le choix et l'arrivée du chiot de manière simple, précise et illustrée, vous dévorerez "Comment élever son chiot (au top!)" de Gwen Bailey aux Editions Larousse (avril 2012).
Au sommaire, les clés d'une éducation basée sur le renforcement positif et la bienveillance, mais aussi le choix du chiot, des conseils pour préparer son arrivée et des exercices ludiques auxquels peuvent se prêter les enfants de la maisonnée.
La bonne nouvelle qui couronne notre nouvelle rubrique "animaux de compagnie" ? Ce livre est à gagner !
Racontez nous les premiers pas de votre animal, quel qu'il soit, à vos côtés : anecdotes, premières nuits, découvertes, bêtises, surprises, ... à vous de nous faire rire, sourire, pleurer, envie et aimer votre compagnon...
Une participation par personne à la suite de ce message, jusqu'au 9 juin
vendredi 11 mai 2012
Des années...
... a nous bassiner avec ses animaux de compagnie en kiosques et sur abonnement et sur son nouveau blog niet, nada, quetchi. Pas une miette, pas un mot ou presque, rien ? Mais elle compte y remédier la Drawoua déguisée en Maman Baobab ? Elle croit que ça ne fait pas partie de la famille les animaux domestiques ?
En France aujourd'hui, (indic Minsitère de l'Agriculture fevrier 2012), près de deux foyers sur trois possèdent un animal de compagnie, ce qui représenterait plus de 18 millions de chiens et de chats... de quoi encore balosser, conseiller, discuter, tisser, regarder, littératurer,... Bref de quoi ouvrir une nouvelle rubrique.
En France aujourd'hui, (indic Minsitère de l'Agriculture fevrier 2012), près de deux foyers sur trois possèdent un animal de compagnie, ce qui représenterait plus de 18 millions de chiens et de chats... de quoi encore balosser, conseiller, discuter, tisser, regarder, littératurer,... Bref de quoi ouvrir une nouvelle rubrique.
Voilà, c'est fait !
jeudi 10 mai 2012
Concours...
... fidèles abonnés, visiteurs de passage, de hasard, de bouche à oreille ou anonymes, le concours sur vos anecdotes sur "un mot de travers, une remarque déplacée, une attitude à côté de la plaque de votre enfant" ... est clôturé
les résulats >>>>> sont par ICI
les résulats >>>>> sont par ICI
> Bravo aux participantes ! <
mercredi 9 mai 2012
Rita et Machin : CHOUETTE !

mardi 8 mai 2012
Ma pile de livres sous le coude...
.... je me demandais à quelle sauce, la prochaine chronique Baobab. Triste ou léger ? Pour quelle tranche d'âge ? Une petite envie ? Une petite idée ?
lundi 7 mai 2012
Le livre sans fin...
... est le livre que le lecteur n'a pas pu terminer.
Le livre sans fin a accompagné son lecteur jusqu'au bout. Juste une présence, à la fin.
Le livre sans fin est depuis plus d'un an sur ma table de nuit, comme si c'était le mien.
Le livre sans fin, je me suis posé la question. Lire la fin ? A partir du marque page ?
Prendre au début, le livre sans fin ? Ce n'est pas le mien. Je n'en ai pas envie. Je dépoussière de temps en temps, comme ma table de nuit, comme une présence dans la nuit. Le livre sans fin restera sans fin. Pour l'instant.
Le livre sans fin a accompagné son lecteur jusqu'au bout. Juste une présence, à la fin.
Le livre sans fin est depuis plus d'un an sur ma table de nuit, comme si c'était le mien.
Le livre sans fin, je me suis posé la question. Lire la fin ? A partir du marque page ?
Prendre au début, le livre sans fin ? Ce n'est pas le mien. Je n'en ai pas envie. Je dépoussière de temps en temps, comme ma table de nuit, comme une présence dans la nuit. Le livre sans fin restera sans fin. Pour l'instant.
dimanche 6 mai 2012
Tiens, une chaussette.
Tiens, mon moral.
Mais pourquoi ces deux-là ont cette tendance à s'assembler comme ça. Sans prévenir ? La date. Peut-être.
Mais pourquoi ces deux-là ont cette tendance à s'assembler comme ça. Sans prévenir ? La date. Peut-être.
vendredi 4 mai 2012
Brigiiiiiiitte ! Mais n'importe quoi !
Brigitte : brebis. Loup ? Même pas peur ! Framboises ? Miam miam. Loup ? Pas peur du tout du tout. Framboises ? Super miam. Loup ??? Pas peur, on vous dit. Même quand on n'est plus que la seule brebis parce que le reste du troupeau a fui. Loup ? Non pas peur. Par contre estomac + framboises = aïe. Tu regrettes pas, toi, le loup, d'avoir croisé Brigitte ? Elle non. SOulagée, même.
Et puis y a Michel, qui fait écho au précédent opus, bien sûr. Dont il faudra qu'on vous reparle quand même. Enfin en attendant, ruez-vous sur celui-ci. Et riez, riez. Vous êtes chez Thierry Magnier, dans les pages de Sylvain Victor. On adore. Enfin, nous parent. Vous faites penser à vous parler d'une histoire d'huître aussi, même éditeur. Vraiment, vous en rirez aussi, vos enfants peut-être moins, mais vous assurément. *** Coup de cœur ***
Brigitte, la brebis qui n'avait peur de rien de Sylvain Victor, Editions Thierry Magnier, mars 2012.
jeudi 3 mai 2012
Un jour...
... votre enfant n'est pas rentré dans la bonne case. Un mot de travers, une remarque déplacée, une attitude à côté de la plaque... vous avez avalé un fou-rire, vous vous êtes mordu les joues ou au contraire vous avez eu tellement honte que vous êtes devenu rouge comme une tomate... avec juste une envie, celle de vous cacher dans un trou de souris ou celle de le découper en petits morceaux...
La meilleure histoire remportera
Aujourd'hui vous pouvez en rire, alors partagez cette anecdote !
La meilleure histoire remportera
Okimdam, l'oiseau auqel il manquait une case
mercredi 2 mai 2012
Clôture du concours !
Clôture des votes du concours Goûter d'anniversaire...
Vos votes font gagner "la chasse aux trésors" de Valkikou !
Félicitations !
Elle gagne l'album Larousse "Goûters Rigolos"
chroniqué ici >>> http://maman-baobab.blogspot.fr/2012/01/des-gouters-rigolos.html
Le détails des participations sont dans les commentaires de ce message >>>>>
mardi 1 mai 2012
La grosse faim de P'tit Bonhomme...
... livre choisi pour ne pas migrer trop loin de ce premier mai ...
Quand l'estomac vide de P'tit bonhomme gargouille, c'est la faim ! Une faim très grosse à laquelle il faut remédier vite. Oui. Mais tout est vide, placard, armoire et compagnie. P'tit Bonhomme se rue en bas de la rue : boulangerie. Ouf. Sauf que le porte-monnaie de P'tit Bonhomme est vide aussi... alors pas de pain. A moins que, troque le boulanger, P'tit Bonhomme lui apporte de la farine ? P'tit Bonhomme au ventre - et ventre à terre, même ! - file voir le meunier... mais la farine non plus n'est pas gratuite... Alors troc encore, P'tit Bonhomme remonte le fil... pour parvenir enfin à ses fins : fin de la faim. Enfin, jusqu'à demain. Finement conté par Pierre Delye- avec des mots qui ne demandent qu'à sonner dans la bouche du lecteur à voix haute - le périple de P'tit Bonhomme est illustré avec style - collage, couleurs, matières et dessins - par Cécile Hudrisier chez Didier Jeunesse.
La grosse faim de P'tit Bonhomme, Pierre Delye et Cécile Hudrisier, Editions Didier Jeunesse, 2003 - 12,50 euros.
Quand l'estomac vide de P'tit bonhomme gargouille, c'est la faim ! Une faim très grosse à laquelle il faut remédier vite. Oui. Mais tout est vide, placard, armoire et compagnie. P'tit Bonhomme se rue en bas de la rue : boulangerie. Ouf. Sauf que le porte-monnaie de P'tit Bonhomme est vide aussi... alors pas de pain. A moins que, troque le boulanger, P'tit Bonhomme lui apporte de la farine ? P'tit Bonhomme au ventre - et ventre à terre, même ! - file voir le meunier... mais la farine non plus n'est pas gratuite... Alors troc encore, P'tit Bonhomme remonte le fil... pour parvenir enfin à ses fins : fin de la faim. Enfin, jusqu'à demain. Finement conté par Pierre Delye- avec des mots qui ne demandent qu'à sonner dans la bouche du lecteur à voix haute - le périple de P'tit Bonhomme est illustré avec style - collage, couleurs, matières et dessins - par Cécile Hudrisier chez Didier Jeunesse.
La grosse faim de P'tit Bonhomme, Pierre Delye et Cécile Hudrisier, Editions Didier Jeunesse, 2003 - 12,50 euros.
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