dimanche 21 avril 2013

Bien sûr...

Avec 8,5 journées de congés dits "enfants malades" prises depuis le 1er janvier, 
Avec les compléments en RTT parfois nécessaires, 
La relève assurée par les grand-parents hautement complémentaire, 
je suis contente de voir arriver les vacances. Ce ne sont pas mes vacances. Mais c'est pas mal quand ce sont les leurs et qu'ils partent un petit peu dans leur famille paternelle. Mes deux Minis, mes deux prunelles.
C'est vrai quand même : un hiver chouette se termine avec pas moins et seulement pour deux enfants, deux épisodes de grippe, deux fois deux gastro, trois passages de scarlatine et deux d'otite, on a cartonné en antibiotiques pas automatiques sans même qu'un microbe ne fasse vaciller le baobab. Hé hé. 
Ceci dit, je ne m'étonne pas de me démaquiller les yeux sans enlever mes lunettes. Je trouve juste cela un peu gras et inadapté. Je suis fatiguée. Un signe. Mais j'ai fait mieux. L'an passé, pour coiffer les bouclettes de Petit Poi(d)s, j'avais bien pris, de bon matin, à l'heure à laquelle il faut un peu se dépêcher - car le train n'attend pas - j'avais bien pris, la crème solaire à la place de l'eau coiffante. Sans m'en rendre compte bien sûr avant deux ou trois coups de spray. ça avait été beaucoup moins drôle. L'an passé, de bon matin juste avant l'heure du train.  Deux ans de soloparentalité c'est aussi cela. Une course d'endurance

2 commentaires:

  1. Purée, quel hiver !
    Ça ne m'étonne pas que tu sois contente d'en voir le bout !
    Profite bien de leurs vacances, alors ;-)

    RépondreSupprimer
  2. Merciiii Sardiiiine ! l'hiver a été olé olé ! Mais au bout du tunnel : la lumière et les papillons !

    RépondreSupprimer